Victime de syncopes régulières : cette étudiante en médecine française raconte son calvaire depuis qu'elle a été vaccinée contre le Covid-19 !

Victime de syncopes régulières : cette étudiante en médecine française raconte son calvaire depuis qu'elle a été vaccinée contre le Covid-19 !

Interrogée par nos confrères du Dauphiné, une jeune femme de 19 ans a raconté le calvaire qu'elle a vécu depuis sa dernière dose de vaccin Covid en août 2021....

Un cycle menstruel perturbé chez les femmes, une névralgie amyotrophique de l'épaule, des douleurs articulaires, des maux de tête, des rougeurs, une paralysie... Alors que plus de 141 millions de vaccinations Covid ont été réalisées en France selon le point d'information de l'Agence nationale du médicament (ANSM), la liste des effets indésirables ne cesse de s'allonger !

Des effets secondaires plus ou moins invalidants qui disparaissent en moyenne quelques jours/semaines après la dose injectée... Malheureusement, ce n'est pas le cas de Nadine*.

Depuis sa première dose de vaccin au centre MLK d'Annemasse en août 2021, l'étudiante en médecine a eu des syncopes à répétition (perte de connaissance), une intolérance au soleil et des règles complètement perturbées.

"J'ai trois ou quatre syncopes par semaine".

"Depuis ce mois d'août 2021, j'ai trois ou quatre syncopes par semaine. Je suis très handicapée par les syncopes qui ne me préviennent pas, je tombe comme une pierre, n'importe où et n'importe quand. De plus, mes menstruations sont perturbées et peuvent durer jusqu'à trois semaines", a déclaré Nadine, qui était toutefois "confiante" avant l'injection du vaccin Pfizer.

"J'ai une peau méditerranéenne et je n'ai jamais eu de problèmes d'allergies au soleil, mais lorsque je suis allée à la piscine les jours suivants, j'étais couverte d'ampoules. Je suis obligée de me protéger du soleil. Je porte des lunettes, un chapeau, je me couvre le corps et je vis à l'ombre", a ajouté l'Annemassienne, qui se bat désormais pour poursuivre ses études. "Je suis persévérante, je veux réussir, je vais aller jusqu'au bout de mes études de médecine", a-t-elle assuré.

Nadine ne veut pas seulement réaliser son rêve professionnel, elle espère aussi que son cas permettra de sensibiliser les gens aux dangers potentiels de la vaccination. "Mais je veux que la responsabilité des personnes qui vaccinent ou imposent le vaccin soit abordée et soulignée. Je veux aider les autres à prendre une décision, car ce vaccin n'est pas inoffensif. De plus, il y a quelques jours seulement, j'ai pu obtenir un rendez-vous avec un cardiologue en Suisse ; il était clairement d'avis qu'il s'agissait d'effets liés au vaccin".

* Pour des raisons de confidentialité, le prénom de la jeune femme a été modifié.