Ary Abittan accusé de viol : 15 ans de prison pour l'humoriste ?

Ary Abittan accusé de viol : 15 ans de prison pour l'humoriste ?

Dans cette affaire, de nouvelles révélations viennent d'être faites.

Le vendredi 4 mars, les téléspectateurs ont pu découvrir le dernier numéro de Touche Pas À Mon Poste. Pour ce numéro inédit, de nombreux sujets ont été abordés. Il a été question de l'Ukraine et de la Russie. Le fils d'Anne Hidalgo, Arthur, et l'humoriste Arthus étaient présents sur le plateau. De plus, de nouvelles révélations ont été faites sur l'affaire Ary Abittan. L'acteur a été mis en examen pour viol et placé sous contrôle judiciaire pour un viol présumé commis en octobre 2021.

La star a été convoquée pour la première fois par le juge d'instruction en charge de l'affaire. L'audience s'est déroulée le 24 février au palais de justice de Paris et aurait duré pas moins de cinq heures !

Florian Anselme, journaliste à Closer, a rapporté les nouveaux éléments du dossier. "Ary Abittan n'admet pas les faits. Il estime que l'acte sexuel était consenti", a-t-il déclaré. L'humoriste aurait parlé d'un "rapport sexuel musclé", mais il n'aurait pas mentionné que la plaignante l'avait refusé. Il affirme qu'il n'a absolument rien forcé. La victime présumée affirme le contraire". Une confrontation entre les deux est prévue prochainement...

Gilles Verdez s'est également exprimé et a déclaré que dans cette affaire, "il faudra encore 12 à 18 mois pour que l'enquête soit terminée. Quoi qu'il arrive, il ne pourra plus travailler avant 2023...", a-t-il révélé avant d'expliquer : "Soit il y aura un non-lieu, soit il sera renvoyé devant un tribunal pour un procès. Il risque 15 ans de prison après avoir été accusé de viol. Cette déclaration a été confirmée par l'avocate Laure-Alice Bouvier. "L'enquête peut durer encore plus longtemps. Ce sont des délais prévus par la justice, mais qui peuvent en réalité durer des années (...) L'instruction peut aboutir soit à un non-lieu, soit à un renvoi devant la cour d'assises, soit à une correctionnalisation (devant le tribunal correctionnel, ndlr)".