"Ça ne vous regarde pas !" Cette question de Cyril Hanouna dans "Face à Baba", à laquelle Marion Maréchal ne souhaite pas répondre !

"Ça ne vous regarde pas !" Cette question de Cyril Hanouna dans "Face à Baba", à laquelle Marion Maréchal ne souhaite pas répondre !

Première intervenante face à Valérie Pécresse dans Face à Baba sur C8 ce mercredi 23 mars, Marion Maréchal a peu goûté une question de Cyril Hanouna !

"C'est là où je devais être et je crois en la victoire". C'est la phrase que Marion Maréchal a lâchée mercredi 23 mars dans Face à Baba pour parler de sa décision de soutenir la campagne présidentielle d'Eric Zemmour. La jeune femme était assise en face de Valérie Pécresse. Cyril Hanouna lui a alors demandé si elle avait des nouvelles de sa tante Marine Le Pen, dont les relations ne sont pas forcément sous une bonne étoile. "Ça ne vous regarde pas !", lui a répondu la jeune maman. "Elle était là la semaine dernière, on se dit tout maintenant", a insisté l'animateur. "Bah non (...) vous, votre grand-mère, elle va bien", expliqua-t-elle ironiquement. "Ce sont mes histoires personnelles. Comme l'animateur n'était pas prêt à laisser tomber le steak, il a enchaîné en disant : "Ça veut dire 'oui'". "Vous en déduisez ce que vous voulez, mais je ne vais pas parler ici de ma vie familiale et privée. Nous parlons ici de politique. Ce sujet n'est pas une histoire de famille".

"Non, mais ça ne vous regarde pas".

Le 1er mars, Marine Le Pen était l'invitée de Face à BFM. Au cours de l'émission, Amandine Atalaya lui a demandé : "Quand avez-vous parlé avec elle pour la dernière fois ?". Elle avait cependant reçu une réponse très sèche... comme sa nièce quelques semaines plus tard. "Non, mais cela ne vous regarde pas, Madame Atalaya. C'est une affaire de ma vie privée. Je suis heureuse que cela vous intéresse, mais vous n'aurez pas de réponse", avait-elle dit avant d'ajouter : "Cela m'attriste personnellement et me plonge dans un abîme de perplexité politique. Quand on se dit défenseur de la France, quand on souhaite pour notre pays un avenir de sécurité et de prospérité, quand on veut défendre la civilisation, il faut évidemment soutenir le candidat le plus à même de l'emporter face à Emmanuel Macron, et c'est moi".