Cette ancienne chroniqueuse de TPMP "est menacée de mort" : "Nous recevons des choses extrêmement violentes" !

Cette ancienne chroniqueuse de TPMP "est menacée de mort" : "Nous recevons des choses extrêmement violentes" !

Après avoir dénoncé les agressions sexuelles dont elle a été victime, l'ancienne chroniqueuse de TPMP s'est cette fois-ci exprimée sur les conséquences de cette prise de parole !

Souvenez-vous : en 2019, Nadège Beausson-Diagne révélait dans un long et poignant message sur son compte Instagram qu'elle avait été victime d'une agression sexuelle : "J'ai moi aussi été victime de harcèlement et d'agressions sexuelles lors de deux tournages en Afrique. C'était il y a très longtemps. La douleur a été avalée. Aujourd'hui, je suis prête à parler pour aider à libérer cette parole et à retrouver ma vie", a-t-elle expliqué, confiante dans le fait que "la peur doit changer de camp".

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Elle avait également pointé du doigt un réalisateur africain lors d'une table ronde au Festival panafricain du cinéma et de la télévision : "Il m'a isolée de l'équipe technique, a interdit à tout le monde de me parler, a coupé certaines de mes scènes, a menacé de bloquer mes billets d'avion... Je le soupçonne même d'avoir tenté de m'empoisonner. Et ce réalisateur, qui n'a jamais été inquiété, est actuellement présent au festival...", avait-elle déclaré.

Deux ans plus tard, dans une interview à Télépro, l'actrice évoquait les conséquences de cette puissante prise de parole : "J'ai été menacée de mort, on reçoit des choses extrêmement violentes (...) Dans le cinéma africain, on a notamment aidé une jeune actrice, et le réalisateur m'a menacée de mort", laissait-elle entendre. Mais ce n'est pas ce qui la fait reculer. Elle est bien décidée à poursuivre ce combat. "C'est pour cela que je continuerais à parler, parce que je suis capable de le faire". Sa prise de position lui a fait perdre des "amies". "Je les mets entre guillemets, car si elles pensent que j'ai fait cela à des fins publicitaires, ce ne sont pas des amies".

Elle a poursuivi : "Si vous saviez le nombre de messages que je reçois. Et je sais qu'il est infinitésimal par rapport à la réalité. Il y aura toujours plus de victimes qui ne parlent pas que de victimes qui parlent".

Le combat est loin d'être terminé !

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