"Elles avaient une présence pulmonaire certaine" : Michel Drucker se lâche en parlant des seins de deux jeunes femmes, grand malaise dans TPMP...

"Elles avaient une présence pulmonaire certaine" : Michel Drucker se lâche en parlant des seins de deux jeunes femmes, grand malaise dans TPMP...

Lundi 6 décembre 2021, Michel Drucker était l'invité de l'émission "Touche pas à mon poste". L'animateur a raconté de nombreuses anecdotes à Cyril Hanouna et à ses chroniqueurs, et l'une d'entre elles a provoqué un certain malaise dans l'émission...

Un an après sa terrible opération, Michel Drucker semble plus en forme que jamais. Non seulement il a repris la présentation de son émission "Vivement dimanche" sur France 2 et vient de sortir un livre, mais il repart en tournée dans toute la France avec son nouveau one-man-show "De vous à moi".

Lundi 6 décembre 2021, celui qui a failli être amputé il y a quelques mois et qui a failli le devenir, était sur le plateau de "Touche pas à mon poste" sur C8. Cyril Hanouna, de retour après un court arrêt maladie, a accueilli avec joie son ami qui a enchaîné les anecdotes.

Tous les jours je rencontre des gens, il n'y a pas si longtemps j'ai rencontré ce qu'on appelle à Marseille des cagoles. Et puis il y a eu une couverture de SNCF Magazine avec Christophe Dechavanne. Je monte dans le train ... ils avaient une présence pulmonaire certaine ...", explique-t-il en mimant un geste de forte poitrine.

"Elles arrivent, chewing-gum, cheveux rouges, piercings ... et l'une dit à l'autre : 'Oh, Dechavanne, toute notre jeunesse ! J'arrive à Avignon et avant de descendre du train, je leur dis, si Dechavanne c'est votre jeunesse, alors moi je suis quoi ? Les pyramides ?", poursuit-il avant de conclure : "Et là, elle me dit : 'Ah non, vous êtes différent, vous avez été vendu avec le poste'.

Si le récit de Michel Drucker était plutôt amusant, sa remarque sur les gros seins des jeunes femmes a provoqué un petit moment de malaise et Benjamin Castaldi, assis à côté de lui, a eu beaucoup de mal à réprimer son malaise.