"Il m'a dit de..." Christine Quinn, star de "Selling Sunset", est fortement menacée par le producteur de la série !

"Il m'a dit de..." Christine Quinn, star de "Selling Sunset", est fortement menacée par le producteur de la série !

Alors que la cinquième saison de "Selling Sunset" sur Netflix a été un véritable succès. L'une de ses actrices principales, Christine Quinn, dénonce le réalisateur de la série.

Vous en aviez assez du procès de Johnny Depp contre Amber Heard ? Voici son revival. Alors que la cinquième saison de "Selling Sunset", avec Chelsea Lazkani comme nouvelle venue, fait un tabac sur Netflix, Christine Quinn a fait de graves révélations sur le réalisateur de la série, Adam DiVello.

"Nous devons regarder ce qu'Adam DiVello a fait dans son ensemble, en tant qu'être humain, en tant que personne qu'il est", a d'abord déclaré la star de l'émission de téléréalité immobilière de luxe made in Los Angeles dans l'épisode du podcast d'Alexandra Cooper "Call Her Daddy", mardi 17 mai.

Puis il a tout jeté par-dessus bord : "Des plaintes ont été déposées contre lui. Plusieurs plaintes. Il m'a même dit une fois de tomber dans les escaliers et de me tuer". La star américaine de la téléréalité est allée encore plus loin dans les détails. "Il m'a menacée et m'a crié dessus. Il y avait d'autres personnes qui l'ont entendu", a-t-elle déclaré. Ce qu'il lui reprochait ? Elle avait été "trop honnête" lorsqu'elle avait signalé que le montage de l'émission avait été manipulé. "Sur quoi il m'a crié dessus et hurlé dessus", a-t-elle ajouté.

Christine Quinn rapporte également qu'elle a accusé Adam DiVello d'abus sexuels. "Ce n'est pas la première plainte que j'ai déposée contre lui. Il y en a eu une autre selon laquelle, à ce jour, il n'est autorisé à entrer sur le plateau avec aucune des femmes du bureau", a-t-elle expliqué. Elle accuse également l'ensemble de la production, composée de nombreux hommes, de harcèlement moral. "C'est une industrie dominée par les hommes, dans laquelle ils manipulent les femmes. Ils les harcèlent, les torturent mentalement en les intimidant", a-t-elle d'abord dénoncé. Puis elle a conclu par une déclaration : "Ils vont dire : 'Si tu dis ce mot, si tu dis cette phrase, on te renverra'. Et donc, au bout de trois heures. On en arrive à un point où l'on dit : 'Bon, je dis ça, je m'en fous'. Donc c'est une tactique d'intimidation".

Antoine F-M