"Les hommes qui ont surpris Julian Bugier pendant son journal de 13 heures à Bayonne sont venus perturber le journaliste en direct.

"Les hommes qui ont surpris Julian Bugier pendant son journal de 13 heures à Bayonne sont venus perturber le journaliste en direct.

Le vendredi 18 mars 2022, Julian Bugier était en direct de Bayonne, dans le Pas-Basque, pour présenter son journal de 13 heures. En plein milieu de l'émission, le journaliste a dû faire face à des militants munis de pancartes venus faire passer un message au président de la République, Emmanuel Macron.

Après Anne-Sophie Lapix et ses directs risqués depuis Lviv en Ukraine, c'est au tour de Julian Bugier de revenir sur le devant de la scène. Régulièrement, le célèbre journaliste de France 2 emmène ses fidèles téléspectateurs aux quatre coins de la France, dans les villages de l'Hexagone, pour être au plus près des habitants et aborder des problématiques importantes.

Après avoir installé son plateau dans un village de Haute-Normandie pour parler de la crise sanitaire et des nouvelles vagues de contagion, Julian Bugier s'est cette fois-ci installé à Bayonne, aux Pays-Bas. Ce vendredi 18 mars 2022, le compagnon de Claire Fournier est effectivement apparu à l'écran en direct du sud de la France.

"Ce sont les aléas du direct...".
Bien sûr, le journaliste a fait un point sur la guerre en Ukraine avant d'évoquer la conférence de presse d'Emmanuel Macron sur son programme présidentiel. En dévoilant les différentes unes de la presse régionale, Julian Bugier s'est attardé sur un journal local du Sud-Ouest qui consacrait une grande partie de ses pages à la situation en Corse. Au même moment, plusieurs manifestants s'approchaient du journaliste : "Vous voyez peut-être autour de moi que ce sont les prisonniers basques qui interpellent ici...".

Les spectateurs pouvaient effectivement voir des militants avec des pancartes scandant : "Macron ! Et les prisonniers basques ? Libérez Ion et Jakes !". Julian Bugier, un peu bousculé par les manifestants, a vite repris le contrôle de la situation et a expliqué : "Certains militants se sont naturellement imposés autour de moi. Ce sont les aléas du direct et la démocratie qui s'exprime".