Procès pour viol : mais pourquoi Meghan Markle est-elle appelée à témoigner contre le prince Andrew ?

Procès pour viol : mais pourquoi Meghan Markle est-elle appelée à témoigner contre le prince Andrew ?

Après une bataille juridique de plusieurs mois qui l'a rendu radioactif au sein de la famille royale, le prince Andrew ne pourra pas échapper à son procès pour viol à New York. Dans la liste des témoins qui pourraient comparaître, un nom se distingue particulièrement.

Elle a été l'esclave sexuelle du milliardaire Jeffrey Epstein entre 2000 et 2002, alors qu'elle était encore mineure. L'Américaine Virginia Giuffre a déposé plainte contre le prince Andrew, avec lequel elle dit avoir été forcée à trois reprises à avoir des relations sexuelles. Et loin de vouloir négocier avec lui une somme d'argent, elle aurait évoqué sa chute.

Meghan Markle pourrait recevoir une assignation à comparaître.

Alors que le fils préféré de la reine Elizabeth II s'est déjà retiré de la vie publique en 2019, il a perdu cette semaine ses patronages ainsi que ses titres militaires après qu'un juge new-yorkais a rejeté sa plainte devant la justice. Andrew devrait donc comparaître devant Virginia Giuffre, qui attend ce moment avec impatience.

Dans les colonnes de Paris Match, nos confrères rappelaient cette semaine que l'Américaine n'avait pas été appelée à la barre par le parquet lors du procès de Ghislaine Maxwell (complice de Jeffrey Epstein et amie proche du prince Andrew). Cependant, "son équipe aurait commencé à sélectionner des témoins en cas de procès". Il s'agit notamment de la femme qui affirme avoir vu le prince avec elle dans une boîte de nuit, de Beatrice et d'Eugenie, les filles d'Andrew et de Sarah Ferguson, mais aussi de l'ancien palefrenier d'Andrew et de Meghan Markle.

Que va-t-elle dire ?

Selon l'hebdomadaire, l'épouse du prince Harry pourrait recevoir une convocation. Et quelque chose nous dit qu'elle n'aura pas grand-chose de positif à dire sur ce membre de la famille royale. En mars dernier, lorsqu'elle a déclaré à Oprah Winfrey qu'un membre du clan avait des inquiétudes racistes concernant la couleur de peau de sa progéniture, le prince Andrew était sur la liste des suspects.

Paris Match avait alors rapporté que Meghan Markle avait eu un "échange polaire" avec Andrew, l'oncle de Harry, qui "ne lui parlait pas"...