En ce moment, on le voit partout, à la télévision, à la radio ou sur Internet. Après de nombreuses années passées en Angleterre, Patrice Évra fait son grand retour en France. Lors de la présentation de son autobiographie I Love This Game, l'ancien international a abordé plusieurs sujets ces derniers jours. Il est bien sûr revenu sur les agressions sexuelles dont il a été victime à l'adolescence et a également évoqué sa relation compliquée avec les banlieues, puisqu'il a grandi aux Ulis (Essonne). Mais ce ne sont pas les seuls sujets sur lesquels il s'est exprimé.
Invité hier matin dans l'émission de Bruce Toussaint sur BFMTV, Patrice Évra a donné son avis sur la crise sanitaire que nous traversons tous actuellement, et visiblement, il a un avis bien tranché sur la question. "Le vaccin ? Chacun est libre de faire ce qu'il veut. Il faut laisser aux gens le droit de faire ce qu'ils veulent. Personne ne sait d'où vient le Covid", lance-t-il au journaliste, qui l'invite ensuite à préciser sa pensée sur l'origine du virus : "Pour moi, ce n'est pas un hasard. Je ne vais pas dire que c'était prévu, mais Bill Gates en a parlé en 2013".
C'est politique. Car si tu veux diriger et gouverner les gens, tu le fais par la peur.
Ces déclarations pourraient ressembler à certaines théories du complot partagées sur les réseaux sociaux. Certes, Patrice Évra assure que le Covid ne lui "fait pas peur", mais il commence à être légèrement agacé par l'omniprésence du virus dans les débats actuels. "On en parle beaucoup trop ! Mais même si tu as un accident de voiture, on dira que tu es mort parce que tu avais le Covid", ironise-t-il. Mais tout cela sert selon lui un but bien plus grand : "Pour moi, c'est politique. Car si tu veux diriger et gouverner les gens, tu le fais avec la peur. C'est ça".
Bruce Toussaint gn, et on peut le comprendre, par le " discours " de Patrice vra sur le Covid... pic.twitter.com/oykPk5rhLm
— Sacha Nokovitch (@SachaNoko) January 13, 2022
Patrice Évra a choisi de s'exprimer sur la crise sanitaire actuelle et ses propos risquent de déchaîner les passions.