Emmanuel Macron : cette femme Premier ministre "il ne la supporterait pas une demi-journée !"

Emmanuel Macron : cette femme Premier ministre "il ne la supporterait pas une demi-journée !"

Alors que les noms de plusieurs Premiers ministres circulent si Emmanuel Macron est réélu, il y a une femme politique célèbre qui n'aurait pas forcément les faveurs du chef de l'Etat.

Si Emmanuel Macron était réélu président de la République le 24 avril prochain, le chef de l'Etat modifierait très probablement la composition de son gouvernement. Depuis quelques semaines, il se murmure que l'Élysée verrait bien une femme succéder à Jean Castex. Lors de sa première campagne présidentielle réussie en 2017, Emmanuel Macron avait émis le souhait de nommer une femme au poste de Premier ministre s'il était élu président de la République. Cette décision a finalement été écartée, Edouard Philippe ayant accepté le costume de chef du premier gouvernement.

Ces derniers jours, selon certains journalistes, une candidate potentielle à ce poste a été évoquée. Nos confrères de L'Obs ont rapporté que le nom d'Élisabeth Borne figurerait dans les papiers du président de la République en cas de victoire le 24 avril prochain. Cette haute fonctionnaire de 60 ans, aux cheveux gris sagement coupés, aux lunettes rondes et à l'allure discrète, a longtemps été proche du Parti socialiste avant de rejoindre La République en marche et de devenir ministre des Transports en mai 2017 dans le premier gouvernement d'Édouard Philippe. En juillet 2019, elle devient ministre de la Transition écologique et solidaire, en remplacement de François de Rugy, démissionnaire.

Mais avant l'évocation d'Élisabeth Borne, d'autres indiscrétions ont cité le nom de Christine Lagarde. "Matignon n'est pas du tout son option", avait réagi de son côté l'entourage de la présidente de la BCE, qui avait rappelé un mois plus tôt : "J'ai un métier, j'ai une fonction. Je suis à Francfort jusqu'en 2027. Je n'ai pas l'habitude d'abandonner en cours de route". L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy aurait récemment ajouté : "J'en ai le souffle coupé". Quant à l'entourage d'Emmanuel Macron, il persifle : "Christine, c'est une icône ! Et chez Macron, il n'y a qu'un seul homme politique, c'est lui. Il ne tiendrait pas une demi-journée".

Thibaud Cruz