Est-ce que nous en sortirons un jour ? C'est la question que nous nous sommes posée il y a deux ans, lorsque le Covid-19 est entré dans nos vies. Nous pensions qu'avec l'introduction du vaccin, nous allions enfin en finir.... Mais voilà qu'une nouvelle vague arrive, avec encore plus de cas par jour. Face à cette situation, le gouvernement doit donc prendre des mesures qui ne plaisent pas à tout le monde. Nous parlons notamment du carnet de santé qui a été transformé en carnet de vaccination. Une décision décidée par l'exécutif qui n'a pas été appréciée, notamment par les "anti-x". Et ce ne sont probablement pas les dernières déclarations d'Olivier Véran qui vont améliorer la situation...
Le ministre de la Santé s'est présenté lundi 10 janvier devant le Sénat pour parler de ce fameux passeport et indiquer la seule condition à laquelle il disparaîtrait. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que sa condition n'a pas fait l'unanimité. "Le jour où nous n'en aurons plus besoin, où nous ne serons plus menacés par une nouvelle variante, nous y renoncerons avec grand plaisir", a révélé le neurologue, qui a très clairement indiqué la seule condition à laquelle le passeport pourrait disparaître. En d'autres termes, tant que la pandémie existera, le "laissez-passer" existera aussi. Cette annonce n'a évidemment pas été bien accueillie par les internautes et les anti-vaccins.
Nos confrères de Voici ont rassemblé une sélection de réactions sur Internet. "Alors on n'y renoncera jamais ? Parce qu'à moins d'avoir raté un épisode, il me semble qu'on ne s'est jamais débarrassé des épidémies de grippe et de leurs variantes annuelles ? Mauvais. Mensonges Mensonges et encore mensonges ... Dans quelle mesure le carnet de santé nous protège-t-il de la menace d'une variante ? Vu l'augmentation des contaminations et aussi parmi les vaccinés : Quel est le véritable objectif de ce passeport ? Car il est une véritable passoire. Si la menace est permanente, ce jour n'arrivera jamais. Avez-vous éteint vos cerveaux à ce point ?", pouvait-on lire... Si le ministre de la Santé pensait pouvoir calmer le jeu avec une telle annonce, c'est malheureusement raté.
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