"L'épouse de Jean-Michel Blanquer, Anna Cabana, est très contrariée par l'affaire Ibiza.

"L'épouse de Jean-Michel Blanquer, Anna Cabana, est très contrariée par l'affaire Ibiza.

La journaliste Anna Cabana, récemment mariée à Jean-Michel Blanquer, est pointée du doigt. Elle a animé cette semaine depuis Ibiza un débat sur la polémique suscitée par les annonces du ministre.

C'est une nouvelle polémique qui touche le gouvernement quelques jours seulement après le début de la nouvelle année scolaire. Le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer a annoncé par erreur, depuis Ibiza, un nouveau protocole de santé pour les écoles. Et alors que les critiques fusent de toutes parts, sa femme, la journaliste Anna Cabana, est elle aussi traînée dans la boue.

"Je ne peux pas payer la facture tous les jours".

Le 18 janvier, elle a animé un débat sur l'affaire dans son émission d'actualité i24 "Conversations". Et sur la toile, les commérages allaient bon train. Comme récemment pour Thomas Sotto (et avant lui pour Anne Sinclair, Audrey Pulvar ou Léa Salamé), l'éthique d'une telle pratique a été remise en question... Dans les colonnes du Parisien, Anna Cabana s'est déclarée "blessée" par ces accusations.

Elle a rappelé que leur relation, qui s'est terminée par un mariage en janvier 2022, est "publique depuis deux ans" après la publication d'une paparazzade dans Voici. Anna Cabana, qui avait déjà été écartée de BFMTV où elle travaillait auparavant, assure : "Aujourd'hui, tout le monde sait que je suis la compagne de Jean-Michel Blanquer. J'ai déjà payé le prix fort pour cela. Je ne peux pas en payer la facture tous les jours".

Concernant son débat de mardi soir sur le thème "Jean-Michel Blanquer, au cœur de la tempête", Anna Cabana s'est justifiée : "Je présente un journal télévisé. Il aurait été surréaliste de ne pas parler de la crise politique du jour. Si je ne l'avais pas fait, on me l'aurait reproché".

"Si je fais des conneries pendant que je fais mon travail, massacrez-moi".

La journaliste, qui se défend d'être une éditorialiste, n'a pas l'intention d'abandonner le métier qu'elle exerce depuis 20 ans. Elle est maintenue à l'antenne par son employeur et demande donc ceci : "Je veux simplement être jugée sur mon travail. Si je fais des conneries dans mon travail, massacrez-moi. Mais je ne peux pas rendre compte de ce genre de polémiques".